mercredi 23 novembre 2011

Sup


T. a des mains de mémé.
- je dois être benjamin button, dit-elle la calice.
Bin ouains, tu parles d’un talent de déduction : mains de mémé = benjamin button, 2 +2 = 10 000 calice.
- T**, dis-je, t’as l’air en forme
- aaaw, noon, me répondit le cadavre de T.
Grosse vie sale au 2t.
(aux deux moi répond T., vous la catchez, moi avec, a suck)
- c'est jimmy baleine
(pourquoi tu dis ça T., pourquoi) 

jeudi 17 novembre 2011

simon pis moi on se voit pu faque on devient attardés (plus)

ou comment l'université ne nous rend pas plus matures.

« pourquoi tu vas à ton cours on pourrait s’aimer au 2t.
- parce que ça fait 2 de suite que je vais pas.
- c’est quoi le cours caca dans plotte triplotte ?
- on peut s’aimer en d’autres plottes.
- on va s’aimer enplotte.
- introduction à l’analyse triplotique du cacadansplotte. pis hier j’ai eu séminaire de la levrette et du fist. »

lundi 7 novembre 2011

simon m'aime II


- je pense que je me débarrasse de facebook
- han ouain pourquoi (bonne idée)
- pour me concentrer à te faire des lettres d’amour (papier)

vendredi 4 novembre 2011

c'est vendredi on fait l'amour

genre non.  avant on était crazy as fuck on se pimpait la face comme des maudits énervés simon se peignait les cheveux quelqu’un embarquait dans le coffre pis on était assez motivés pour traverser le pont comme des pleins de marde en quête d’aventures tumultueuses et de bière renversée partout. c’était trash comme il fallait on criait i believe in a thing called love pendant que math montrait son pénis aux autres conducteurs avant de nous mettre ses mains dans face. une fois on a même passé un après-midi à sauter tout nu sur une trampoline à faire des frontflips pour tomber dans l’eau de la piscine creusée de notre ami qui était même pas là parce qu’il avait des cours d’été.
- sup j’espère que ça te dérange pas mais on est tout nu dans ta cour en tout cas on t’attend achète de la bière en passant.
pour finalement laisser math aller chercher de quoi faire des hot dogs vêtu d’un haut de bikini et d’un jeans sans ceinture qui couvrait pas grand-chose sinon ses mollets (environ). on était wilds et mal élevés mais c’était drôle oké on n’avait pas besoin de réfléchir à ce qu’on allait faire après son bac ou ben quand est-ce qu’on allait partir de chez ses parents.

g
enre j’ai peur de me réveiller un jour et de me rendre compte que je fais pu de niaiseries et que je trouve même pas ça drôle quand les autres en font.

t’sais come on c’est vendredi tout le monde est à veille de se coucher pis tout ce que simon a à me proposer c’est :
- on pourrait faire de la poésie :
feuille morte
automne
triste
nostalgie
atrabile
rime pas habile
vieux débile